La Flottille amphibie parée au combat dans le Grand Nord

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Auteur : La rédaction

La Flottille amphibie parée au combat dans le Grand Nord
@ Marine nationale

Le 13 mars 2022, la batellerie du détachement de la Flottille amphibie embarquée à bord du PHA Dixmude, composée d’un EDA-R, d’un CTM et d’un EDA-S dont c’est le premier déploiement opérationnel, s’est entraînée aux tirs contre terre à la mitrailleuse 12.7 mm au large de l’île de Tarva en Norvège. Une séquence menée aux côtés des soldats du groupement tactique embarqué (GTE), inscrite dans la phase de montée en puissance de l’exercice COLD RESPONSE 22.

 

Pour la Flottille amphibie (FLOPHIB), cette mission dans le Grand Nord représente deux enjeux majeurs : l’entraînement des troupes avec son équipement dans un environnement exigeant, en dialogue permanent avec le groupement tactique embarqué de l’armée de Terre, ainsi que la validation des capacités militaires de l’EDA-S. Ces entraînements sont essentiels aux bâtiments de la FLOPHIB, dont le cœur de mission est d’être projetés de la mer vers la terre. Ils sont ainsi armés de mitrailleuses leur permettant d’assurer une auto-défense à 360° en cas d’engagement ou de prise à partie.

A quelques nautiques des côtes norvégiennes, l’ensemble du détachement de la FLOPHIB s’est donc exercé au tir contre terre à la 12.7 mm. Une opportunité d’exercice exceptionnelle car la France ne possède pas de zone d’entraînement aux tirs contre terre similaire. Une séquence inédite également pour les marins de l’EDA-S, qui a réalisé ses premiers tirs contre terre et validé l’enradiage à bord du PHA avec armes à poste. Cet entraînement s’inscrit dans le cadre de la vérification de ses capacités militaires (VCM) en vue de son admission au service actif.

Les militaires ont ainsi acquis des automatismes dans le but d’être toujours plus réactifs et efficaces en situation de combat. De plus, cela permet la montée en puissance du détachement avant la séquence phare de l’exerce COLD RESPONSE 22 : le débarquement des 280 hommes et près de 80 véhicules du GTE, au-delà du cercle polaire.

Focus sur l’EDA-S NG

Plus grand, plus rapide, plus endurant, plus manœuvrant et plus connecté qu’un CTM : ainsi peut-on résumer les capacités de l’EDA-S. Sa particularité ? La technologie roll on / roll off, empruntée aux EDA-R avec lesquels il sont totalement compatibles et complémentaires. Ce système « RORO » permet de décharger en marche avant ou en marche arrière pour optimiser la souplesse dans les opérations. L’EDA-S dispose également d’un propulseur d’étrave qui le rend plus manœuvrant qu’un CTM et d’une autonomie plus importante puisqu’il peut naviguer 24 heures et par mer 5. Sa technologie embarquée lui assure également une meilleure communication avec le PHA et les forces projetées.

 

Acteur essentiel des opérations de projection de forces, la Flottille amphibie, basée à Toulon, est la seule flottille de la Force d’action navale. C’est une unité constituée de plusieurs équipages mettant en œuvre différents types d'engins de débarquement amphibie, de manière autonome ou à partir d’un bâtiment porteur de type porte-hélicoptères amphibie (PHA). Elle est constituée d’un échelon de commandement et de soutien, d’équipes de reconnaissance de plage (composées de fusiliers marins titulaire du stage PLB), de huit chalands de transport de matériel, de quatre engins de débarquement rapide avec leurs équipages (composés de chefs du quart, manœuvriers, mécaniciens et électriciens) et bientôt de huit EDA-S.

27 nations alliées et partenaires, plus de 30 000 militaires : COLD RESPONSE 2022 est un exercice interalliés et interarmées à dominante amphibie, mené par l’état-major des armées norvégiennes. L’objectif : renforcer les capacités des armées alliées à opérer ensemble dans des conditions climatiques exigeantes propres au théâtre de l’Atlantique Nord à terre, dans les airs et en mer.

 

Fin de mission logistique et scientifique pour L’Astrolabe

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Fin de mission logistique et scientifique pour L’Astrolabe
@ Marine nationale

En mer depuis octobre 2021, le patrouilleur polaire L’Astrolabe a achevé sa mission de soutien à la logistique antarctique (MSLA) au profit de l’Institut polaire français Paul-Émile Victor et des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Il fait actuellement route vers La Réunion.

En cinq mois comptant une relève d’équipage, L’Astrolabe a réalisé 5 rotations vers la station polaire française Dumont-d’Urville, en terre Adélie. Il a acheminé un total de 1 160 tonnes de fret et 239 passagers.

Durant ses 10 traversées entre Hobart (Tasmanie) et la station Dumont-d’Urville, L’Astrolabe a parallèlement été mobilisé au profit d’opérations scientifiques : l’équipage et les chercheurs embarqués ont ainsi contribué, par le largage et la récupération d’appareils de mesures, au partage mondial de données hydrographiques, climatiques et relatives à la faune de la région polaire.

Cette mission a enfin constitué une opportunité de coopération entre la France et l’Australie sur le continent Antarctique, mettant le brise-glace français à contribution dans le cadre d’une relève de personnel et pour appuyer des travaux sur les bases australiennes de Macquarie et Mawson.

L’équipage de L’Astrolabe sera de retour à son port-base avant la fin du mois de mars.

AGÉNOR : bilan de l’engagement de la frégate Lafayette Guépratte

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AGÉNOR : bilan de l’engagement de la frégate Lafayette Guépratte
@ EMA

Le 13 mars, la frégate de type La Fayette Guépratte a quitté l’opération AGÉNOR, pilier militaire de la mission EMASoH (European-led maritime awareness in the Straight of Hormuz), placée sous le commandement tactique d’un état-major composé de neuf pays européens et dirigée par la Belgique depuis le 1er mars.

Déployé du 23 janvier au 13 mars et cumulant 60 jours au sein de cette opération, le Guépratte a participé à la surveillance et à l’appréciation de la situation aérienne et maritime dans le golfe Arabo-Persique. La frégate française a patrouillé à huit reprises au côté de navires de commerce et tankers transitant dans le détroit d’Ormuz contribuant à la liberté de navigation dans cet endroit stratégique du globe.

En outre, le Guépratte a pu conduire cinq coopérations avec les différentes forces armées de la région : marine saoudienne, marine américaine, forces françaises prépositionnées à Djibouti ou aux Émirats arabes unis…

Le point d’orgue de ces coopérations a été l’exercice majeur interallié KHUNDJAR HADD, organisé par les Omanais et qui s’est déroulé dans le golfe d’Oman du 6 au 10 mars. Il a réuni plus d’une vingtaine de bâtiments et aéronefs américains, britanniques, omanais et français.

Enfin, le Guépratte a également été engagé en soutien associé aux Task forces 465 et 150, qui luttent contre la piraterie et les trafics illicites dans la zone. Au cours de ce déploiement, la frégate a saisi plus de 270 kg d’héroïne au cours d‘une intervention sur un boutre suspect le 17 février dernier.

 

AGÉNOR : bilan de l’engagement de la frégate Lafayette Guépratte

Lancement de l’exercice WAKRI

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Lancement de l’exercice WAKRI
@ EMA

À l’occasion de son passage à Djibouti, le groupe JEANNE D’ARC – articulé autour du Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral et de la frégate type Lafayette (FLF) Courbet – a participé à la première phase de l’exercice WAKRI, du 12 au 15 mars, préparation opérationnelle annuelle interarmées conduite par les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ).  

Afin de préparer cette manœuvre, le PHA Mistral s’est s’entraîné avec les unités de l’armée de Terre, dont le 5e Régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM), de l’Aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) et de l’armée de l’Air et de l’Espace (détachement de l’Escadron de transport outre-mer) pour mener des manœuvres amphibies et des entraînements à l’appontage des hélicoptères Gazelle et Puma, de jour comme de nuit.

Un assaut amphibie a ensuite permis le débarquement du Sous-groupement tactique embarqué (S/GTE) composé d’environ 180 militaires et 30 véhicules. À terre, le S/GTE a manœuvré avec des troupes américaines. Cette interopérabilité entre alliés s’est également concrétisée par plusieurs appontages de MV-22Osprey de l’US Marine Corps à bord du PHA Mistral et de ravitaillement en vol des M2000-5 par les C130 de la combined joint task forces – Horn of Africa (CJTF-HoA).

La participation du groupe JEANNE D’ARC et des Forces françaises à Djibouti à l’exercice WAKRI permet de réaffirmer les engagements de la France auprès de la République de Djibouti.

 

 

Lancement de l’exercice WAKRI

Mission Asie 2022 du Vendémiaire

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Mission Asie 2022 du Vendémiaire
@ EMA

Depuis son appareillage de Nouméa le 31 janvier, la frégate Vendémiaire poursuit sa mission en Extrême-Orient.

La première action de coopération avec la marine philippine a eu lieu à quai le 10 mars. Les équipes du central opérations de la frégate ont participé à un exercice sur la plateforme IORIS (Indo-Pacific regional information sharing) avec les marins et garde-côtes philippins. Le scénario visait à intercepter un bâtiment commercial suspecté de trafic de drogue. Cet exercice a permis aux forces françaises et philippines de se coordonner et d’opérer ensemble dans le cadre d’un scénario réaliste.

Après cette escale, le Vendémiaire a appareillé de Manille le 11 mars et a retrouvé la corvette de la marine philippine Conrado Yap pour des exercices conjoints (manœuvres tactiques, mise en œuvre des différents modes de transmission).

Le même jour, le Vendémiaire a transité dans le détroit de Formose pour poursuivre sa mission en mer de Chine méridionale et marquer l’attachement de la France à la liberté de navigation. Le Vendémiaireopère désormais dans le cadre de la mission AETO, contribution française à l'UNSC ECC (United Nations Security Council Enforcement Coordination Cell). Il s’agit d’une mission de surveillance au sein du dispositif de lutte contre le contournement par la Corée du Nord des sanctions de l'ONU imposées par les résolutions 2375 et 2397.

 

 

 

CLÉMENCEAU 22

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CLÉMENCEAU 22
@ EMA

Depuis février, le groupe aéronaval (GAN) opère en Méditerranée.

Les aéronefs du Groupe aérien embarqué (GAé) poursuivent leurs missions au-dessus de la Bulgarie et de la Roumanie. Du 10 au 16 mars, 3 missions d’alerte avancée ont été réalisées par les Hawkeye ainsi que 9 missions de défense aérienne par les Rafale Marine.

De plus, le GAé a poursuivi ses vols en soutien des mesures de précaution conduites par l’opération EUFOR ALTHEA en Bosnie-Herzégovine. Du 10 au 16 mars, 5 missions de reconnaissance ont été effectuées par les Rafale Marine.

Le 12 mars, un E-2C Hawkeye a mené une mission de surveillance de l’espace aérien croate, en réponse à une demande des autorités croates après la chute d’un drone suspect près de Zagreb.

Parallèlement, les unités du GAN participent directement à l’appréciation de situation de la Méditerranée centrale à la Méditerranée orientale, indispensable pour préserver notre liberté d’action.

Enfin, pour la deuxième fois lors du déploiement CLEMENCEAU 22, les GAN français et américain, autour de l’USS H. S. Truman, ont réalisé une nouvelle séquence opérationnelle conjointe, du 9 au 11 mars. Lors de ce Dual carrier operation (DCO), les GAN ont conduit des interactions dans le domaine du combat aérien (air to air), des catapultages croisés de Rafale Marine et de F-18, mais aussi des briefings opérationnels rassemblant les commandants des deux forces aéromaritimes. Ces interactions renforcent l’interopérabilité des deux marines et des capacités communes de lutte.

 

CLÉMENCEAU 22

CLEMENCEAU 22 – Des marins du BCR Marne et du SLM au soutien de l’USS Ross

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CLEMENCEAU 22 – Des marins du BCR Marne et du SLM au soutien de l’USS Ross
@ Marine nationale

Le 5 Mars 2022, dans le cadre du déploiement du groupe aéronaval CLEMENCEAU 22, une équipe de techniciens du bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne et du service logistique de la Marine (SLM) de Toulon est intervenue à la mer afin de réaliser une réparation à bord du destroyer américain USS Ross.

Deux techniciens et leur matériel ont été dépêchés depuis le BCR Marne, qui assure le soutien logistique du groupe aéronaval, vers l’USS Ross, bâtiment américain intégré à la force depuis le début du déploiement. Les deux marins ont ainsi été transférés L’Alouette 3, embarquée à bord de la Marne, a permis le transfert du soudeur du bord ainsi que d’un expert frigoriste du SLM, embarqué en renfort pour la mission. Rapidement, l’expertise a permis d’établir la cause de l’avarie et le besoin de travaux de soudure sur le circuit du fluide frigorigène. Alors que les Américains ont préparé la surface à traiter, les marins français ont accompli le geste technique en effectuant une brasure à l’argent sur l’installation détériorée. 

Habitués à travailler de concert depuis le début de la mission CLEMENCEAU 22, les relations entre le BCR Marne et l’USS Ross illustrent la richesse de la coopération franco-américaine et le partage des expertises entre équipages.

CLEMENCEAU 22 – Des marins du BCR Marne et du SLM au soutien de l’USS Ross
CLEMENCEAU 22 – Des marins du BCR Marne et du SLM au soutien de l’USS Ross

Dernier déploiement opérationnel pour la frégate anti-sous-marine (FASM) Latouche-Trèville

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Dernier déploiement opérationnel pour la frégate anti-sous-marine (FASM) Latouche-Trèville
@ Marine nationale

La frégate anti-sous-marine (FASM) Latouche-Tréville a appareillé de Brest le 7 mars dernier pour un dernier déploiement opérationnel avant son retrait du service actif prévu cet été.

Dans le contexte géopolitique actuel, engagé en Mer du Nord avant de rejoindre la mer Baltique, le Latouche-Tréville démontre la solidarité de la France avec ses partenaires d’Europe du Nord. Il se tient en mesure de renforcer la posture défensive et dissuasive de l’OTAN dans la zone.


Le 11 mars le Latouche-Tréville est ainsi arrivé en escale à Frederikshavn au Danemark. A cette occasion, le commandant de la base navale danoise était invité à bord alors qu’une délégation de marins du bâtiment visitait le centre de formation de la Marine danoise, notamment leur simulateur
de navigation.


Ces interactions entre nos deux marines, toutes deux membres de l’OTAN, s’inscrivent dans une volonté commune de renforcer notre interopérabilité et notre capacité à mener des actions coordonnées dans cet espace maritime majeur.

Mission Asie 2022 - Exercice bilatéral franco-japonais OGURI-VERN

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Mission Asie 2022 - Exercice bilatéral franco-japonais OGURI-VERN
@ EMA

Le 17 mars, la frégate de surveillance Vendémiaire, déployée en mer de Chine orientale, a réalisé un exercice conjoint avec le Kirisame, bâtiment de la marine japonaise de la classe Murasame.

 

Les deux bâtiments ont mené des manœuvres conjointes en coopération avec des avions de patrouille maritime japonais. Outre les liaisons radios « classiques », les deux unités ont mis en oeuvre une liaison de donnée tactique (LDT). Cette transmission de données permet de partager, au sein d’une force aéronavale, la situation tactique afin de profiter des capteurs des unités qui la composent et d’établir une image commune de la zone d’opération.

Une fois le réseau LDT établi, le Vendémiaire et le Kirisame ont exécuté différentes manœuvres, notamment une série d’entrainement au ravitaillement à la mer en alternant les rôles de ravitailleur et de ravitaillé. Cette manœuvre délicate place les deux bâtiments en situation de grande proximité, à moins de 50m l’un de l’autre.

Lors de cet entraînement, l’hélicoptère du Kirisame, de type Seahawk, a conduit des manœuvres « aviation » en exécutant exercice de treuillage à bord de la frégate française.

Ce type de manœuvre permet, notamment, d’entraîner l’équipage français à travailler avec un hélicoptère étranger et, plus largement, d’entretenir l’interopérabilité des armées française et japonaise par la mise en œuvre des procédures standardisées.

Les interactions régulières des armées française et japonaise dans cette région d’intérêt stratégique contribuent à sa stabilité.

« Oguri-Verny »: François Léonce VERNY (1837-1908) était un polytechnicien et ingénieur maritime français qui a supervisé, avec OGURI Tadamasa Kosukenosuke, le haut responsable de la marine de guerre impériale, la construction ce qui allait devenir l’arsenal naval de Yokosuka. Yokosuka et Brest sont des villes jumelées depuis novembre 1970 en hommage à ce partenariat naval historique entre la France et le Japon.

Mission Asie 2022 - Exercice bilatéral franco-japonais OGURI-VERN
Mission Asie 2022 - Exercice bilatéral franco-japonais OGURI-VERN

La mission JEANNE D’ARC en soutien direct de l’opération ATALANTE

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La mission JEANNE D’ARC en soutien direct de l’opération ATALANTE
@ EMA

Depuis le 17 mars 2022, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistral et la Frégate type LA FAYETTE (FLF) Courbet, déployés dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC, sont engagés en soutien direct de l’opération européenne ATALANTE de lutte contre la piraterie maritime en océan Indien.

Après une patrouille au large de Djibouti où le groupe a participé à l’exercice amphibie interarmées et interalliées WAKRI, la mission JEANNE D’ARC poursuit son déploiement en océan Indien en soutien direct de l’opération européenne ATALANTE.

Intégrés à la Task Force 465 aux côtés des frégates Canarias (Espagnol) et Bergamini (Italie) et du Chasseur de mines tripartites Orion (France), le PHA Mistral et la frégate Courbet participent aux opérations de sécurité maritime dans le golfe d’Aden en luttant contre la criminalité en mer, dont la piraterie et le narcotrafic.

Ce volet opérationnel de la mission JEANNE D’ARC participe à la formation des officiers-élèves de l’Ecole navale tout en contribuant aux missions dévolues aux armées.

Au cours des 5 mois de mission, le groupe JEANNE D’ARC 2022 sera successivement déployé en mer Méditerranée, puis en océan Indien avant de rejoindre l’océan Atlantique. Le groupe JEANNE D’ARC délivre une formation d’excellence pour former l’ensemble des officiers-élèves et contribue à renforcer l’interopérabilité avec nos alliés et partenaires riverains par la conduite d’exercices de grande ampleur. Tout au long de son déploiement, le groupe JEANNE D’ARC entretient une appréciation de situation dans les zones traversées tout en contribuant à la sûreté maritime.

 

La mission JEANNE D’ARC en soutien direct de l’opération ATALANTE