Marins de combats - Cap sur les Jeux !
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- PASSION MARINE : TREIZE MARINS SPORTIFS DE HAUT NIVEAU SÉLECTIONNÉS POUR LES JOP
- VIE DES UNITÉS : MISSION BOUGAINVILLE SEPT MOIS À BORD DU CHAMPLAIN
- IMMERSION : LA MARINE CÉLÈBRE LE DÉBARQUEMENT DU 6 JUIN 1944
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Jeux Olympiques et Paralympiques 2024
Publié le 01/07/2024
© J. Vacelet/MN
« Il suffira d’une étincelle (…) pour allumer le feu et faire danser les diables et les dieux ». Pari réussi pour la cité phocéenne qui a accueilli la flamme lors de sa première étape française. Avant de rejoindre Brest le 7 juin et de larguer les amarres vers l’Outre-mer puis de rallier Paris le 26 juillet, la flamme a fait une entrée majestueuse dans la rade marseillaise.
© J. Vacelet/MN
Le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Seine – vu ici depuis le pont du Belem, avec la flamme olympique à l’abri dans sa lanterne –, a accompagné le trois-mâts durant son odyssée contemporaine entre la Grèce et la France. Le BSAM a assuré la sûreté de la route maritime, parant à tout type de menace venant de la mer.
© J. Guégan/MN
Le 7 mai, La goélette Belle Poule, avec à bord les musiciens du Bagad de Lann-Bihoué, rejoint le Belem pour la fin de sa traversée.
©A. Alias/MN
Non, le Belem n’appartient pas à la flotte de la Marine nationale, et non il n’est pas le plus vieux gréement encore capable de naviguer (le plus ancien est américain, c’est le USS Constitution). Sorti des chantiers Dubigeon en 1896, qui est aussi l’année de la première édition des Jeux olympiques de l’ère moderne, il était initialement prévu pour transporter du cacao, avant de devenir un navire-école. 16 jeunes parrainés par la Fondation Belem ont pris part à cette traversée d’exception, encadrés par des marins du service militaire volontaire (SMV) de Brest.
©MN
À terre, dès 9 heures du matin, le dispositif de sécurité et de sûreté maritime monte en puissance, avec l’établissement d’un poste de commandement aux Catalans dans les locaux de COMAR Marseille (ici le capitaine de vaisseau Sébastien, chef du PC, explique la situation au vice-amiral d’escadre Boidevezi) avec le soutien du CROSS MED (centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage Méditerranée). Sept postes de secours ont été installés autour du Vieux Port, avec le concours d’associations agréées de sécurité civile (Croix rouge, Ordre de Malte, Protection civile, Euromedicare, Croix blanche…) et des éléments du SAMU. La réussite est à la hauteur de l’investissement exceptionnel de l’ensemble des administrations de l’Etat et des collectivités.
©A. Accad/MN
Impossible de chiffrer exactement le nombre de spectateurs, on parle de 150 000 personnes à terre. Sur le plan d’eau, 3 500 spectateurs (via les 823 navires ayant participé à la parade et les 411 embarcations qui ont participé aux ateliers) ont admiré le spectacle. La bulle de protection autour du Belem a été strictement respectée. 364 personnes, issues de cinq ministères, ont été mobilisées (avec cinq patrouilleurs hauturiers, quatre vedettes hauturières et 26 semi-rigides) pour le dispositif maritime du 8 mai. A cela s’ajoutent les effectifs déployés en permanence (CROSS, Sémaphores, vols de surveillance, brigades littorales de la gendarmerie maritime…) qui représentent environ 150 personnes.
© A. Alias/MN
600 marins-pompiers de Marseille étaient mobilisés dans les casernes, sur le plan d’eau – via quatre embarcations et la vedette Bonne Mère de la SNSM – et sur les lieux d’affluence (le Vieux Port en tête, et sur la corniche Kennedy). Leur mission : porter assistance à toute victime au cœur des événements. L’essentiel des interventions a été dû à des malaises ou blessures sans gravité. Aucune difficulté majeure n’a été signalée.
©J. Vacelet/MN
Placé à l’entrée de la rade, le patrouilleur côtier de la gendarmerie Jonquille participe à la sûreté de l’événement. Des plongeurs démineurs et un détachement de fusiliers marins sont également présents en renfort, avec le soutien du CROSS MED.
© MN
La patrouille de France dessine un superbe tableau aérien au-dessus du Belem, qui sera complété par les feux d’artifice aux couleurs olympiques tirés depuis le plan d’eau. Le dispositif de sécurité du Vieux Port a nécessité une reconfiguration en vue du concert et des mouvements de la foule. Chose faite par le poste de commandement, permettant à la soirée de se poursuivre jusque 1h du matin.
© MN
Une courte nuit plus tard, Marseille s’est réveillée pour assister au relais de la flamme dans ses rues. Parmi les porteurs de la torche olympique, le quartier-maître Matthieu, marin-pompier, champion de décathlon.
Marseille fait grandir la flamme dans nos yeux
Publié le 01/07/2024
Après douze jours de mer depuis le port du Pirée en Grèce, la flamme olympique est arrivée à Marseille le 8 mai, à bord du Belem, accompagné par la goélette Belle Poule et le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain Seine de la Marine nationale.
© MN
À journée exceptionnelle, dispositif de sécurité exceptionnel. Sous la houlette de la préfecture maritime de la Méditerranée, et avec les moyens du commandant en chef pour la Méditerranée, de la gendarmerie maritime et du bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM), la parade du mythique trois-mâts dans la rade marseillaise, entouré d’un millier d’embarcations privées venues célébrer cet événement, a remporté un énorme succès. Un rassemblement hors du commun et préparé de longue date, qui a placé Massilia sous les feux des projecteurs du monde entier. Le jour anniversaire de la victoire des Alliés en 1945. Tout un symbole.
La France à la tête d’un groupe maritime permanent de l’OTAN
Publié le 30/08/2024
Pour la première fois, la France a pris le commandement d’un groupe maritime permanent de l’OTAN en Méditerranée (Standing NATO Maritime Group Two – SNMG2).
© L. Lugué / MN
Commandé par un amiral français appuyé par un état-major composé d’officiers et de marins britanniques, bulgares, français, grecs, italiens, roumains et turcs, le SNMG2 a démontré sa solidarité et renforcé son interopérabilité avec ses partenaires, contribuant ainsi à la stabilité du flanc sud-est de l’Alliance.
La France à la tête d’un groupe maritime permanent de l’OTAN
Publié le 17/09/2024
©L.LUGUÉ/MN
Au titre de ses fonctions de commandant adjoint de la Force aéromaritime française de réaction rapide (FRSTRIKEFOR), le contre-amiral Yannick Bossu (à droite) a pris au nom de la France le commandement du SNMG2 le 5 avril 2024 à Tarente, relevant ainsi le contre-amiral italien Pasquale Esposito
©L.LUGUÉ/MN
Au titre de ses fonctions de commandant adjoint de la Force aéromaritime française de réaction rapide (FRSTRIKEFOR), le contre-amiral Yannick Bossu (à droite) a pris au nom de la France le commandement du SNMG2 le 5 avril 2024 à Tarente, relevant ainsi le contre-amiral italien Pasquale Esposito (à gauche)
©L.LUGUÉ/MN
Au titre de ses fonctions de commandant adjoint de la Force aéromaritime française de réaction rapide (FRSTRIKEFOR), le contre-amiral Yannick Bossu (à droite) a pris au nom de la France le commandement du SNMG2 le 5 avril 2024 à Tarente, relevant ainsi le contre-amiral italien Pasquale Esposito
©S.LACARRERE/MN
Le groupe maritime permanent de l’OTAN no 2 est commandé depuis le bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme. Le BCR et la frégate de type La Fayette (FLF) Aconit ont patrouillé plusieurs jours de conserve avec le groupe aéronaval italien, sur la route du canal de Suez. Cette mission a été l’occasion de conduire de nombreuses activités de coopération entre bâtiments de l’OTAN telles que manoeuvres d’hélicoptère, évolutions tactiques, exercices de lutte anti-sous-marine, anti-aérienne voire multi-luttes, notamment « contre » des bâtiments grecs en exercice national au large de la Crète. Sur la photo, on aperçoit en formation le BCR Somme, la frégate grecque Themistocles, la frégate multi-missions italienne Alpino, le porte-aéronefs italien Cavour, la frégate espagnole Numancia, la FLF Aconit et le patrouilleur lance-missiles grec Vlachakos.
©L.LUGUÉ/MN
La frégate grecque Themistocles et la frégate turque Yavuz ont rejoint le SNMG2 pendant plusieurs semaines. Le groupe a fait escale à Istanbul, le 11 avril 2024.
©S.LACARRERE/MN
La Somme, bâtiment amiral du SNMG2, a conduit plusieurs manoeuvres aviation avec des hélicoptères alliés, turcs, italiens et français, comme par exemple, lors de l’activité de vigilance renforcée multi-domaines Neptune Strike 24-1. Cette dernière a démontré la réactivité et l’interopérabilité des forces maritimes commandées par l’OTAN. Elle a mobilisé de nombreux moyens du haut du spectre, tels des groupes aéronavals, des sous-marins et des forces amphibies. Sur la photo, le contre-amiral Yannick Bossu et le capitaine de frégate Benoît Romanet, commandant du BCR Somme, sont hélitreuillés par un NH90 italien à bord du porte- aéronefs Cavour en mer Ionienne.
©L.LUGUÉ/MN
Séance de tir plage arrière. L’équipage de la Somme et les membres de l’état-major multinational s’entraînent au tir mais aussi aux exercices de sécurité et font régulièrement du sport pour maintenir leurs capacités opérationnelles.
©L.LUGUÉ/MN
Séance de tir plage arrière. L’équipage de la Somme et les membres de l’état-major multinational s’entraînent au tir mais aussi aux exercices de sécurité et font régulièrement du sport pour maintenir leurs capacités opérationnelles.
©S.LACARRERE/MN
Le BCR Somme ravitaille en carburant le destroyer américain USS Paul Ignatus, Lors de la mission SNMG2, la Somme a réalisé des RAM, de jour comme de nuit, au profit de bâtiments américains, italiens, turcs, français et espagnols. Ce soutien opérationnel permet d’entretenir les capacités de la force dans un environnement interallié et d’offrir aux alliés un gain de temps tactique et une réactivité permanente.
©L.LUGUÉ/MN
Le BCR Somme ravitaille en carburant le destroyer américain USS Paul Ignatus, Lors de la mission SNMG2, la Somme a réalisé des RAM, de jour comme de nuit, au profit de bâtiments américains, italiens, turcs, français et espagnols. Ce soutien opérationnel permet d’entretenir les capacités de la force dans un environnement interallié et d’offrir aux alliés un gain de temps tactique et une réactivité permanente.
©S.LACARRERE/MN
Pour préserver son endurance à la mer, l’équipage du BCR Somme veille au bon fonctionnement des machines, des embarcations et de la coque. Ici, en mer Egée, un plongeur va effectuer une visite de coque alors que le navire est à la dérive pour inspecter les différents capteurs, les vannes de coque, les clapets d’évacuation ou encore vérifier le bon état des hélices.
©S.LACARRERE/MN
Pour préserver son endurance à la mer, l’équipage du BCR Somme veille au bon fonctionnement des machines, des embarcations et de la coque. Ici, en mer Egée, un plongeur va effectuer une visite de coque alors que le navire est à la dérive pour inspecter les différents capteurs, les vannes de coque, les clapets d’évacuation ou encore vérifier le bon état des hélices.
©L.LUGUÉ/MN
Le SNMG2 a patrouillé en Méditerranée orientale et centrale au profit du renforcement de la posture défensive et dissuasive de l’Alliance sur le flanc sud-est. Le BCR Somme, flagship du SNMG2, a également apporté un soutien logistique précieux pour les alliés opérant dans cette zone.
80 ans du Débarquement en Normandie, devoir de mémoire
Publié le 08/07/2024
Devoir de mémoire La mémoire était vive les 4, 5, 6 et 7 juin 2024 pour les commémorations des 80 ans du Débarquement. Dans le public, venu nombreux et parfois de très loin, on entendait parler français et anglais, comme le Jour J sur les plages de Normandie. Vétérans, enfants, fusiliers marins, lycéens, retraités, matelots, chefs d’État, civils et militaires, tous s’étaient donné rendez-vous afin de rendre hommage aux hommes qui débarquèrent le 6 juin 1944, sous le feu ennemi, pour libérer le pays enchaîné par les forces nazies depuis 1940.
©L.BERNARDIN/MN
Le regard tourné vers la mer, là où huit décennies plus tôt, leurs anciens débarquaient, Français et Américains se souviennent. Hommage
au courage formidable de leurs aînés, à leur soif de liberté au péril de leur vie. Au cimetière américain de Colleville-Montgomery, le capitaine de vaisseau Olivier Roussille, commandant du PHA Mistral, et le capitaine de frégate Jason Nowell, commandant de l’USS Oak Hill, ont présidé la commémoration des héros du jour J en présence de leurs équipages.
au courage formidable de leurs aînés, à leur soif de liberté au péril de leur vie. Au cimetière américain de Colleville-Montgomery, le capitaine de vaisseau Olivier Roussille, commandant du PHA Mistral, et le capitaine de frégate Jason Nowell, commandant de l’USS Oak Hill, ont présidé la commémoration des héros du jour J en présence de leurs équipages.
En mer, sur terre et dans les airs, les marins ont répondu présents sur l’ensemble des cérémonies pour honorer la mémoire, transmettre et célébrer la liberté.
La Marine en opérations : des photos pas si clichées
Publié le 16/09/2024
Vingt-deux photographies réalisées par les reporters images de la Marine sont mises à l’honneur depuis le 9 septembre, dans les douves de l’Hôtel national des Invalides, à Paris.
© MN
Pendant deux mois, Marins de combats, collection unique de photos sur le thème des opérations, met en lumière les marins qui opèrent sur mer, sous la mer, dans les airs ou à terre, à travers le monde au service de la nation. Dissuader, protéger, connaître et intervenir sont leurs missions. Prévenir, innover, coopérer et renforcer composent leur ADN. Cette série photographique vous invite à découvrir nos marins à travers toutes leurs fonctions.
© C.Charles/MN
Rencontre entre un sous-marin nucléaire lanceur d’engin (SNLE) et un Rafale Marine au large de Brest. Les marins de la force océanique stratégique assurent la permanence d’au moins un SNLE en patrouille depuis 1972 !
© S. Lacarrere/MN
Un officier marinier surveille le large depuis le sémaphore du cap Ferret. 365 jours par an, les marins des 59 sémaphores métropolitains veillent sur les approches maritimes françaises.
© T.Wallet/MN
Les commandos Marine mènent un assaut sur un navire suspect, avec l’appui des marins de la frégate multi-missions Provence et de l’hélicoptère Caïman Marine embarqué. L’assaut de vive force est une spécialité des commandos Marine.
© M.Audin/MN
Au central opérations du sous-marin nucléaire d’attaque Améthyste , les opérateurs sonar écoutent, détectent et pistent les bruits sous-marins suspects.
© C. Wassilef/MN
Sur le patrouilleur de haute-mer Commandant Birot, un officier de la Marine nationale de Côte d’Ivoire est de quart en passerelle, en binôme avec un officier français.
©J.Bellenand/MN
Expérimentation d’un drone sous-marin en rade de Brest. La Marine nationale développe l’emploi des drones pour la maîtrise des fonds marins et la lutte contre les mines.
©M.Bailly/MN
Dans le cadre de l’opération européenne Aspides, une frégate multi-missions à capacité de défense aérienne renforcée est déployée dans le sud de la mer Rouge, contribuant à la protection de la liberté de navigation et du trafic maritime international.
©A.Agostinelli/MN
Les marins du patrouilleur polaire Astrolabe rallient la station française Dumont d’Urville en terre Adélie dans le cadre d’une mission de soutien logistique en Antarctique.
©N.Fernandez/MN
De jeunes fusiliers marins s’entraînent sur la plage de Quinéville (Manche) avant d’affronter les présélections au stage commando de Lorient.
©M.Bailly/MN
Le bâtiment ravitailleur de forces Jacques Chevallier, admis au service actif en 2024, ravitaille simultanément la frégate multi-missions Alsace et le porte-avions américain USS Dwight D. Eisenhower
©J.Bellenand/MN
Dans le golfe de Guinée, un télé-pilote fait décoller un drone aérien depuis le porte-hélicoptères amphibie Mistral. Le développement des drones participe au renforcement des capacités de surveillance maritime et de renseignement de la Marine.
©J.Guégan/MN
©J.Corbel/MN
Depuis Andoya, en Norvège, les marins de la flottille 21F participent à l’exercice OTAN Steadfast Defender 24. En 2024, cet exercice a rassemblé 90 000 militaires de 31 pays membres de l’Alliance atlantique.
©J.Corbel/MN
Les marins de la force d’action navale patrouillent par toutes les latitudes. Ici, le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain Garonne entre dans le fjord Christian Sund (sud du Groenland).
©P.Desplat/MN
Les fusiliers marins assurent en permanence la protection des emprises navales contre les menaces terrestres, maritimes ou aériennes. À Cherbourg, le matelot Esteban et son berger belge malinois patrouillent dans la rade.
©M.Denniel/MN
Des marins du ciel, à bord d’un avion de guet aérien E-2C Hawkeye, sont projetés depuis le porte-avions Charles de Gaulle. Le Hawkeye mène des missions de détection aérienne mais est également une plateforme de commandement aéroportée.
©C.Charles/MN
Treuillage de médecins du CHU Louis Pasteur de Cherbourg sur l’Abeille Liberté depuis un hélicoptère H160. En tout temps, les marins assurent les missions de recherche et sauvetage en mer au-delà de la frange côtière.
©S.Lacarrere/MN
L’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins Le Triomphant regagne son port base après une période de mer. Avec ses homologues des SNLE Le Téméraire, Le Vigilant et Le Terrible, il assure la permanence de la composante océanique de la dissuasion nucléaire française.
©C.Wassilief/MN
En Martinique, des marins et des soldats de l’armée de Terre sur un engin de débarquement amphibie rapide lors d’un exercice tactique interarmées. Grâce à ses moyens amphibies, la Marine est capable de déployer des forces aéroterrestres à travers le monde.
© H.Bertrand/MN
Les marins du Bataillon de marins-pompiers de Marseille mobilisés contre les feux de forêts lors de la période estivale.
© MN
Un binôme de fusiliers marins s’entraine à la lutte contre les menaces aériennes à bord du porte-hélicoptères amphibie Mistral. Le canon anti-drone est venu renforcer l’arsenal des unités embarquées ou à terre pour lutter contre les menaces asymétriques.
© V.Orsini/MN
L’équipage de la vedette côtière de surveillance maritime Huveaune de la gendarmerie maritime se prépare à contrôler une embarcation de pêche au large des côtes méditerranéennes. La gendarmerie maritime intervient dans les approches françaises en métropole comme outre-mer.
Des batailles imprévisibles, des victoires remises en question
Publié le 01/09/2024
« Qui tient la mer tient la guerre », Pierre Royer. De Salamine à Tsushima en passant par Chesapeake et la guerre de Crimée, retrouvez dix épisodes d’une heure pour tout connaître des grandes batailles navales qui ont changé le monde.
© DR
Jean Lebrun, accompagné d’un historien différent à chaque épisode, éclaire ces événements aux conséquences radicales. Les caractéristiques des navires de l’époque ou encore les techniques anciennes de navigation sont détaillées. Un parallèle est aussi fait avec le théâtre et la littérature. M. B.
Les batailles navales, par Jean Lebrun et réalisé par Anne Depelchin. Collection Ils ont changé le monde, à retrouver sur France Culture du lundi au vendredi de 11h à 12h.
