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Fil d'Ariane

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Télépilote de drone : un métier qui donne des ailes

Publié le 17/09/2024

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L’école des drones forme chaque année des marins venus de toutes les autorités organiques et de toutes les spécialités. Cette form...
© S.Lacarrere/MN
L’école des drones forme chaque année des marins venus de toutes les autorités organiques et de toutes les spécialités. Cette formation est également ouverte aux gendarmes, militaires de l’armée de terre ou encore à certains civils de la défense. Utilisés pour de multiples missions comme la surveillance, le renseignement. C’est un outil silencieux, rapide, discret et endurant.
« Sur un bateau, c’est une qualification supplémentaire : le drone est un premier vecteur avant d’envoyer l’hélicoptère si besoin ...
©S.Lacarrere/MN
« Sur un bateau, c’est une qualification supplémentaire : le drone est un premier vecteur avant d’envoyer l’hélicoptère si besoin », souligne le second maître Sarah qui a validé sa formation de téléopérateur de drone aérien de contact Basic (TOPDAC Basic) en 2022. Durant ce cours « d’excellence », le second maître reporter d’image et ses comparses ont appris à décrypter des cartes et des messages aéronautiques, assimiler la réglementation, et acquis des connaissances aéronautiques et météorologiques. « La théorie est compliquée, mais lorsqu’on manipule on comprend et on applique », ajoute-elle. En seulement deux semaines, sans aucune connaissance préalable, elle peut désormais préparer une mission, de la réservation de sa zone de vol jusqu’au débriefing en assurant la sécurité aérienne de ce dernier.
Dans l’amphithéâtre Guilbaud, ils sont 45 marins à suivre les cours de la formation Télé opérateur de microdrone aérien (TOMA). Ce...
©S.Lacarrere/MN
Dans l’amphithéâtre Guilbaud, ils sont 45 marins à suivre les cours de la formation Télé opérateur de microdrone aérien (TOMA). Celle- ci, créée en 2021, est plus succincte que la TOPDAC Basic et forme rapidement les marins avec des cours exclusivement théoriques, dont les notions importantes sont envoyées avant le début du cours. À la fin des deux jours d’apprentissage ces marins, du matelot au lieutenant de vaisseau, toutes spécialités confondues, seront capables de mettre en œuvre un microdrone (pesant jusqu’à deux kilogrammes) en vue et hors vue dans un espace bien délimité. Ils devront ensuite passer une qualification de type (QT), formation pratique dispensée par le CEFAé et au sein de chaque autorité organique. Cette dernière vient également achever la formation TOPDAC Basic. Entre 200 et 250 TOMA sont formés chaque année.
Le maître principal Benoît, détecteur anti sous-marin de bord (DASBO), parapentiste et pilote d’ULM dans le civil, dispense en ce ...
©S.Lacarrere/MN
Le maître principal Benoît, détecteur anti sous-marin de bord (DASBO), parapentiste et pilote d’ULM dans le civil, dispense en ce début d’après-midi le cours sur les messages aéronautiques, les messages permanents et éphémères qui peuvent concerner une zone de vol (NOTAM messages aux navigants aériens). C’est l’un des quatre instructeurs de l’école, tous originaires de spécialités différentes, de la force d’action navale, en passant par celle de l’aéronautique navale ou encore de celles des fusiliers marins et commandos. Pour le maître principal, l’utilisation des drones est un enjeu face aux défis actuels : « il ne faut pas rater le coche », raison pour laquelle il a souhaité intégrer l’école dès son ouverture.
Actuellement, le TOPDAC Basic forme sur l’utilisation des drones de contact. Il se passe sur microdrone et l’un des quatre simulat...
©S.Lacarrere/MN
Actuellement, le TOPDAC Basic forme sur l’utilisation des drones de contact. Il se passe sur microdrone et l’un des quatre simulateurs de vol de l’école permet même de piloter le drone Fury (150 kilogrammes). Armé de son joystick, le maître Sylvain le dirige vers l’île de Groix. « L’objectif est d’appliquer la théorie et de commencer à intégrer l’interface homme-machine avec une dizaine de coordonnées : vitesse, altitude, coordonées GPS  », explique le lieutenant de vaisseau Quentin, chef du service drones. Il s’agit là de transformer la connaissance en compétence.
Après la théorie, la pratique. Direction le hangar H6 à quelques minutes en voiture du CEFAé. Dans une boîte noire, se trouvent un...
©S.Lacarrere/MN
Après la théorie, la pratique. Direction le hangar H6 à quelques minutes en voiture du CEFAé. Dans une boîte noire, se trouvent une tablette et une manette intégrée pour diriger un quadricoptère. Ce jour-là, le vol se fera sur le microdrone Parrot Anafi voué à être remplacé par le drone Parrot USA (à l’image).
Maîtriser les commandes une à une est assez simple. Comme sur une manette de console, L2 permet de baisser ou de monter la caméra,...
© S.Lacarrere/MN
Maîtriser les commandes une à une est assez simple. Comme sur une manette de console, L2 permet de baisser ou de monter la caméra, R2 de zoomer, L1 de remettre la configuration à zéro et R1 de prendre une photo. Au tour des joysticks : avec celui de gauche il est possible de monter et de descendre, mais aussi de tourner de gauche à droite. La manette de droite permet quant à elle d’avancer ou de reculer.
Consciente de l’essor de cette technologie et de son importance pour les armées, l’école devrait proposer un nouveau cours de troi...
© S.Lacarrere/MN
Consciente de l’essor de cette technologie et de son importance pour les armées, l’école devrait proposer un nouveau cours de trois à quatre semaines destiné à l’utilisation du système de mini-drones aériens embarqués pour la Marine (SMDM) dès septembre 2024. Plus difficile à appréhender, il nécessite une formation très complète avec plus de 20 heures de théorie et 40 heures de simulateur avant de pouvoir se lancer sur 40 heures de vols terrestres, côtiers et maritimes.
Avec un peu de pratique, avancer en montant, descendre en tournant sur soi- même, s’apprend sans trop de difficultés. En revanche,...
©S.Lacarrere
Avec un peu de pratique, avancer en montant, descendre en tournant sur soi- même, s’apprend sans trop de difficultés. En revanche, slalomer entre des plots, réaliser un arc de cercle en gardant la caméra en direction d’un radar nécessite un peu plus de dextérité. Quelques minutes ne suffisent pas, il faudra revenir pour s’améliorer. Comment réussir à effectuer correctement les différentes manipulations ? « Il faut parler à voix haute et décomposer chaque mouvement », conseille le lieutenant de vaisseau Quentin.

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