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« Sur un bateau, c’est une qualification supplémentaire : le drone est un premier vecteur avant d’envoyer l’hélicoptère si besoin », souligne le second maître Sarah qui a validé sa formation de téléopérateur de drone aérien de contact Basic (TOPDAC Basic) en 2022. Durant ce cours « d’excellence », le second maître reporter d’image et ses comparses ont appris à décrypter des cartes et des messages aéronautiques, assimiler la réglementation, et acquis des connaissances aéronautiques et météorologiques. « La théorie est compliquée, mais lorsqu’on manipule on comprend et on applique », ajoute-elle. En seulement deux semaines, sans aucune connaissance préalable, elle peut désormais préparer une mission, de la réservation de sa zone de vol jusqu’au débriefing en assurant la sécurité aérienne de ce dernier.