• Aller au menu de navigation principal
  • Aller au menu de navigation latéral
  • Aller au contenu
  • Aller au footer

Recherche

Navigation latérale

    • National
    • Outre-mer et étranger
    • Passion Marine
    • Immersion
    • Vie des unités
    • Portraits
    • Rencontres
    • Histoire
    • Livres, films
    • Planète mer
    • Prix Encre Marine
    • Arrêt sur image
    • Infographies
    • Podcasts
    • Vidéos
    • Cols bleus
    • Lettre hebdomadaire
    • Archives
Cols bleus Marine Nationale Accueil

Main navigation

  • Actus
    • National
    • Outre-mer et étranger
  • Dossiers
    • Passion Marine
  • Reportages
    • Immersion
    • Vie des unités
  • Paroles de...
    • Portraits
    • Rencontres
  • Culture
    • Histoire
    • Livres, films
    • Planète mer
    • Prix Encre Marine
  • Médias
    • Arrêt sur image
    • Infographies
    • Podcasts
    • Vidéos
  • Le Mag
    • Cols bleus
    • Lettre hebdomadaire
    • Archives

Fil d'Ariane

  1. Accueil
  2. Préparation au défilé du 14 juillet, dans les coulisses de l'Atlantique 2

Préparation au défilé du 14 juillet, dans les coulisses de l'Atlantique 2

Publié le 01/08/2023

Partager

Copied to clipboard
avion atlantique 2
Le soleil peine à se lever sur la base d’aéronautique navale de Lann-Bihoué. À mesure que l’on se rapproche du tarmac, la carlingu...
avion atlantique 2
© J.Bellenand/MN
Le soleil peine à se lever sur la base d’aéronautique navale de Lann-Bihoué. À mesure que l’on se rapproche du tarmac, la carlingue grise de l’aéronef se dévoile. Un mécanicien s’affaire aux derniers détails sur la verrière de l’ATL2 qui, dans moins d’une heure, prendra la voie des airs. Rien n’est laissé au hasard pour que le vol se déroule en toute sécurité. L’équipage rejoint son oiseau gris après un dernier briefing pour le vol du jour.
Roues d l'Atlantique 2
L’entraînement au défilé aérien ne requiert que quatre heures de vol. Une sortie de courte durée pour cet aéronef capable de voler...
Roues d l'Atlantique 2
© J. Bellenand/MN
L’entraînement au défilé aérien ne requiert que quatre heures de vol. Une sortie de courte durée pour cet aéronef capable de voler pendant 12 heures d’affilée pour des patrouilles maritimes, des missions de lutte anti-sous-marine ou de collecte de renseignements. À chaque vol, toutes les parties de l’avion sont soigneusement inspectées. Ici, le pilote vérifie l’état des roues et des pneus.
Techniciens à bord de l'Atlantique 2
L’équipage est au complet, prêt à décoller. À l’intérieur de l’habitacle, 14 marins du ciel : un chef de bord, un pilote, un contr...
Techniciens à bord de l'Atlantique 2
© J. Bellenand/MN
L’équipage est au complet, prêt à décoller. À l’intérieur de l’habitacle, 14 marins du ciel : un chef de bord, un pilote, un contrôleur tactique, trois opérateurs navigation, trois détecteurs acousticiens de bord et trois opérateurs de guerre électronique ainsi que deux mécaniciens de bord. Chaque équipage d’ATL2 est constitué pour trois ou quatre ans. Des années durant lesquelles les marins apprennent à se connaître et montent en compétences ensemble. « L’équipage que vous voyez là est très récent, confie le capitaine de corvette Thomas, chef de bord. Ils vont participer à leur premier 14-Juillet ensemble. Cela va les souder, créer un lien fort entre eux, essentiel pour leurs futures missions. Un équipage d’ATL, c’est une deuxième famille. »
L'équipage est prêt à décoller
L’équipage est au complet, prêt à décoller. À l’intérieur de l’habitacle, 14 marins du ciel : un chef de bord, un pilote, un contr...
L'équipage est prêt à décoller
© J. Bellenand/MN
L’équipage est au complet, prêt à décoller. À l’intérieur de l’habitacle, 14 marins du ciel : un chef de bord, un pilote, un contrôleur tactique, trois opérateurs navigation, trois détecteurs acousticiens de bord et trois opérateurs de guerre électronique ainsi que deux mécaniciens de bord. Chaque équipage d’ATL2 est constitué pour trois ou quatre ans. Des années durant lesquelles les marins apprennent à se connaître et montent en compétences ensemble. « L’équipage que vous voyez là est très récent, confie le capitaine de corvette Thomas, chef de bord. Ils vont participer à leur premier 14-Juillet ensemble. Cela va les souder, créer un lien fort entre eux, essentiel pour leurs futures missions. Un équipage d’ATL, c’est une deuxième famille. »
Atlantique 2 sur piste
Le soleil peine à se lever sur la base d’aéronautique navale de Lann-Bihoué. À mesure que l’on se rapproche du tarmac, la carlingu...
Atlantique 2 sur piste
© J.Bellenand/MN
Le soleil peine à se lever sur la base d’aéronautique navale de Lann-Bihoué. À mesure que l’on se rapproche du tarmac, la carlingue grise de l’aéronef se dévoile. Un mécanicien s’affaire aux derniers détails sur la verrière de l’ATL2 qui, dans moins d’une heure, prendra la voie des airs. Rien n’est laissé au hasard pour que le vol se déroule en toute sécurité. L’équipage rejoint son oiseau gris après un dernier briefing pour le vol du jour.
Technicien à bord
Après une heure de vol environ, le circuit automobile du Mans est franchi. Les kilomètres défilent et l’ATL2 se rapproche de sa de...
Technicien à bord
© J. Bellenand/MN
Après une heure de vol environ, le circuit automobile du Mans est franchi. Les kilomètres défilent et l’ATL2 se rapproche de sa destination. Du cockpit à la tranche tactique, la concentration à bord monte d’un cran. L’entraînement est exigeant, il nécessite une vigilance de tous les instants car une soixantaine d’avions et d’hélicoptères sont également en vol dans le secteur.
Aile Atlantique 2 en vol
Rapidement, l’ATL2 rejoint sa zone d’attente en vol, un hippodrome d’une vingtaine de kilomètres de circonférence, qu’il partage a...
Aile Atlantique 2 en vol
© J. Bellenand/MN
Rapidement, l’ATL2 rejoint sa zone d’attente en vol, un hippodrome d’une vingtaine de kilomètres de circonférence, qu’il partage avec un Falcon 50 Marine de la 24 F. Il ne le quittera que lorsque le signal lui sera donné pour aller défiler. En tout, 10 hippodromes sont en place pour accueillir la soixantaine d’aéronefs. Plus ou moins espacés les uns des autres, ils sont étudiés pour que chacun puisse se préparer et attendre en toute sécurité. Autour de ces hippodromes, une zone de restriction temporaire a été activée pour empêcher tout aéronef civil de gêner le dispositif.
Falcon 50.
Une heure et demie plus tard, le top départ est donné, l’ATL2 rejoint des coordonnées bien précises où il retrouve le Falcon avec ...
Falcon 50.
© J. Bellenand/MN
Une heure et demie plus tard, le top départ est donné, l’ATL2 rejoint des coordonnées bien précises où il retrouve le Falcon avec lequel il défile en formation serrée. « Le jour J, le Falcon sera en tête de notre patrouille, les deux ATL2 suivront derrière, espacés de seulement 15 mètres. », précise le chef de bord. À l’image d’un théâtre d’opérations, le défilé aérien du 14 Juillet nécessite une connaissance technique pointue de son matériel, de son appareil et de ses systèmes. Aussi, une grande confiance entre les équipages des différents avions est vitale. Il faut savoir s’adapter et se réadapter aux cas non conformes qui peuvent se présenter et mettre en péril l’ensemble de la parade.
Dans la bulle de l'Atlantique 2
La grande répétition terminée, l’ATL2 et le Falcon mettent le cap à l’Ouest. En chemin, ils en profitent pour réaliser un exercice...
Dans la bulle de l'Atlantique 2
© J. Bellenand/MN
La grande répétition terminée, l’ATL2 et le Falcon mettent le cap à l’Ouest. En chemin, ils en profitent pour réaliser un exercice bien connu des marins, le « back to the 80’s ». L’objectif étant de simuler une panne des systèmes radar et GPS modernes pour piloter à l’aide de cartes, de calculs et de points de repère. « Chaque vol est une opportunité de nous entraîner. Nous rentabilisons absolument toutes nos sorties », explique le chef de bord. Passage entre l’île d’Yeu et Belle-Île-en-Mer avant de revenir poser le train d’atterrissage sur la piste de Lann-Bihoué.
Atlantique 2 et Falcon 50
Avant de survoler la capitale à basse altitude, c’est au-dessus des plaines du Loiret que les marins de l’ATL2 et du Falcon s’entr...
Atlantique 2 et Falcon 50
© J. Bellenand/MN
Avant de survoler la capitale à basse altitude, c’est au-dessus des plaines du Loiret que les marins de l’ATL2 et du Falcon s’entraînent. L’équipe en charge du défilé scrute la répétition afin de peaufiner les derniers réglages et s’assurer de la bonne position de chaque aéronef pour que les spectateurs puissent profiter pleinement du spectacle le moment venu. Un tableau splendide également pour les marins du ciel qui pourront admirer Paris à 900 pieds de hauteur (environ 270 mètres), frôler l’arche de la Défense avant de traverser la zone aérienne de l’aéroport Charles-de-Gaulle alors que l’ensemble du trafic aérien sera suspendu. Une opportunité qui ne se présente qu’une fois par an pour quelques heureux élus.
A bord de l'Atlantique 2
La grande répétition terminée, l’ATL2 et le Falcon mettent le cap à l’Ouest. En chemin, ils en profitent pour réaliser un exercice...
A bord de l'Atlantique 2
© J. Bellemand/MN
La grande répétition terminée, l’ATL2 et le Falcon mettent le cap à l’Ouest. En chemin, ils en profitent pour réaliser un exercice bien connu des marins, le « back to the 80’s ». L’objectif étant de simuler une panne des systèmes radar et GPS modernes pour piloter à l’aide de cartes, de calculs et de points de repère. « Chaque vol est une opportunité de nous entraîner. Nous rentabilisons absolument toutes nos sorties », explique le chef de bord. Passage entre l’île d’Yeu et Belle-Île-en-Mer avant de revenir poser le train d’atterrissage sur la piste de Lann-Bihoué.
Vue aérienne des côtes
La grande répétition terminée, l’ATL2 et le Falcon mettent le cap à l’Ouest. En chemin, ils en profitent pour réaliser un exercice...
Vue aérienne des côtes
© J. Bellenand/MN
La grande répétition terminée, l’ATL2 et le Falcon mettent le cap à l’Ouest. En chemin, ils en profitent pour réaliser un exercice bien connu des marins, le « back to the 80’s ». L’objectif étant de simuler une panne des systèmes radar et GPS modernes pour piloter à l’aide de cartes, de calculs et de points de repère. « Chaque vol est une opportunité de nous entraîner. Nous rentabilisons absolument toutes nos sorties », explique le chef de bord. Passage entre l’île d’Yeu et Belle-Île-en-Mer avant de revenir poser le train d’atterrissage sur la piste de Lann-Bihoué.

@ Photo /

footer-2

  • Marine nationale
  • La Marine recrute
  • École navale
  • Boutique Marine nationale

réseaux sociaux footer

  • Linkedin
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • Youtube
Ministère des armées. Liberté, Égalité, Fraternité Marine Nationale

footer-1

  • Mentions légales
  • Charte
  • Plan du site
  • Contact
  • Autres sites